Skip to main content

Home/ Santé & Hôpitaux/ Group items tagged Le Puy

Rss Feed Group items tagged

Veille & Documentation

HCFEA - Synthèse - Quand les enfants vont mal, comment les aider ? - 0 views

  •  
    Dans le rapport « Quand les enfants vont mal : comment les aider ? » le HCFEA alerte sur la montée de la consommation de médicaments psychotropes par des enfants et adolescents. Entre 2014 et 2021, elle a augmenté de +48,54% pour les antipsychotiques ; +62,58% pour les antidépresseurs ; +78,07% pour les psychostimulants ; +27,7% pour les anticholinergiques ; +9,48% pour les dopaminergiques ; +155,48% pour les hypnotiques et sédatifs. Pris dans un effet ciseaux entre l'augmentation de la demande et le déficit structurel de l'offre de soin, les enfants sont plus exposés que les adultes à la souffrance psychique, mais aussi à la médication. Les niveaux d'augmentation (2 à 20 fois plus élevés, selon les molécules) sont sans commune mesure avec ceux observés au niveau de la population générale. Enfin, les moyens dédiés aux soins de première intention, et le déploiement des dispositifs psychothérapeutiques, éducatifs et sociaux ne semblent pas avoir augmenté́ dans les mêmes proportions. On constate ainsi une difficulté d'accès non seulement à des soins pédopsychiatriques mais aussi à des mesures de prévention, d'éducation et d'accompagnement, et les facteurs d'inégalités sociales accentuent encore les effets de cette situation. Du côté des familles, le manque de repère, de lisibilité, puis d'accès aux professionnels fait obstacle à la mise en place d'un parcours de soin et d'accompagnement adapté, inscrit dans la durée. La difficulté à trouver les bons interlocuteurs qui pourront aider l'enfant et sa famille vient alors s'ajouter à l'épreuve familiale qui se joue quand un enfant qui va mal, et aux autres fragilités qui frappent plus fortement les familles ces toutes dernières années au travers de crises multiples. Les travaux du HCFEA ont permis de documenter les biais scientifiques et médiatiques susceptibles d'impacter les politiques publiques en de santé mentale de l'enfant ainsi qu
Veille & Documentation

HCFEA - Rapport complet - Quand les enfants vont mal, comment les aider ? - 0 views

  •  
    Dans le rapport « Quand les enfants vont mal : comment les aider ? » le HCFEA alerte sur la montée de la consommation de médicaments psychotropes par des enfants et adolescents. Entre 2014 et 2021, elle a augmenté de +48,54% pour les antipsychotiques ; +62,58% pour les antidépresseurs ; +78,07% pour les psychostimulants ; +27,7% pour les anticholinergiques ; +9,48% pour les dopaminergiques ; +155,48% pour les hypnotiques et sédatifs. Pris dans un effet ciseaux entre l'augmentation de la demande et le déficit structurel de l'offre de soin, les enfants sont plus exposés que les adultes à la souffrance psychique, mais aussi à la médication. Les niveaux d'augmentation (2 à 20 fois plus élevés, selon les molécules) sont sans commune mesure avec ceux observés au niveau de la population générale. Enfin, les moyens dédiés aux soins de première intention, et le déploiement des dispositifs psychothérapeutiques, éducatifs et sociaux ne semblent pas avoir augmenté́ dans les mêmes proportions. On constate ainsi une difficulté d'accès non seulement à des soins pédopsychiatriques mais aussi à des mesures de prévention, d'éducation et d'accompagnement, et les facteurs d'inégalités sociales accentuent encore les effets de cette situation. Du côté des familles, le manque de repère, de lisibilité, puis d'accès aux professionnels fait obstacle à la mise en place d'un parcours de soin et d'accompagnement adapté, inscrit dans la durée. La difficulté à trouver les bons interlocuteurs qui pourront aider l'enfant et sa famille vient alors s'ajouter à l'épreuve familiale qui se joue quand un enfant qui va mal, et aux autres fragilités qui frappent plus fortement les familles ces toutes dernières années au travers de crises multiples. Les travaux du HCFEA ont permis de documenter les biais scientifiques et médiatiques susceptibles d'impacter les politiques publiques en de santé mentale de l'enfant ainsi qu
Veille & Documentation

HCFEA - Annexes - Quand les enfants vont mal, comment les aider ? - 0 views

  •  
    Dans le rapport « Quand les enfants vont mal : comment les aider ? » le HCFEA alerte sur la montée de la consommation de médicaments psychotropes par des enfants et adolescents. Entre 2014 et 2021, elle a augmenté de +48,54% pour les antipsychotiques ; +62,58% pour les antidépresseurs ; +78,07% pour les psychostimulants ; +27,7% pour les anticholinergiques ; +9,48% pour les dopaminergiques ; +155,48% pour les hypnotiques et sédatifs. Pris dans un effet ciseaux entre l'augmentation de la demande et le déficit structurel de l'offre de soin, les enfants sont plus exposés que les adultes à la souffrance psychique, mais aussi à la médication. Les niveaux d'augmentation (2 à 20 fois plus élevés, selon les molécules) sont sans commune mesure avec ceux observés au niveau de la population générale. Enfin, les moyens dédiés aux soins de première intention, et le déploiement des dispositifs psychothérapeutiques, éducatifs et sociaux ne semblent pas avoir augmenté́ dans les mêmes proportions. On constate ainsi une difficulté d'accès non seulement à des soins pédopsychiatriques mais aussi à des mesures de prévention, d'éducation et d'accompagnement, et les facteurs d'inégalités sociales accentuent encore les effets de cette situation. Du côté des familles, le manque de repère, de lisibilité, puis d'accès aux professionnels fait obstacle à la mise en place d'un parcours de soin et d'accompagnement adapté, inscrit dans la durée. La difficulté à trouver les bons interlocuteurs qui pourront aider l'enfant et sa famille vient alors s'ajouter à l'épreuve familiale qui se joue quand un enfant qui va mal, et aux autres fragilités qui frappent plus fortement les familles ces toutes dernières années au travers de crises multiples. Les travaux du HCFEA ont permis de documenter les biais scientifiques et médiatiques susceptibles d'impacter les politiques publiques en de santé mentale de l'enfant ainsi qu
Veille & Documentation

BVA - Les Français et les liens entre les générations - 0 views

  •  
    Des personnes âgées et des jeunes perçus comme solidaires avec les autres, et des jeunes également jugés individualistes Les Français jugent majoritairement que les personnes âgées et les jeunes sont plutôt solidaires avec les autres (72% concernant les personnes âgées et 57% en ce qui concerne les jeunes). 4 Français sur 10 (39%) estiment que les personnes âgées sont plutôt individualistes, alors que plus de 6 Français sur 10 (61%) ont le sentiment que les jeunes le sont. Si plus d'un Français sur deux estiment que les jeunes générations et les générations âgées s'entraident, la majorité pense qu'elles ne se comprennent pas bien Une courte majorité de Français ont le sentiment que les deux générations s'entraident (55%), ont des valeurs en commun (52%) et partagent leurs expériences (51%). En revanche, seuls 3 Français sur 10 (31%) pensent que les deux générations se comprennent bien. Aux yeux des Français, les jeunes devraient surtout apporter aux personnes âgées leur aide pour les tâches pénibles de la vie quotidienne Pour l'ensemble des Français, il faudrait que les jeunes apportent surtout aux générations âgées leur aide pour les tâches pénibles de la vie quotidienne (50%), puis leur connaissance du numérique (43%). En revanche, les personnes âgées de 65 ans et plus placent en 1ère position l'affection des jeunes (45%) L'organisation de visites au domicile des personnes âgées : la meilleure solution pour renforcer les liens intergénérationnels Pour permettre d'aller vers une société plus fraternelle à l'avenir, l'idée qui se positionne en tête du classement des Français est l'organisation de visites au domicile des personnes âgées par des jeunes, notamment au travers du bénévolat ou du service civique (52%).
Veille & Documentation

Limoges - Lettre pastorale de Mgr Bozo - En chemin vers les ostensions 2020-2023 - 0 views

  •  
    Chaque année, j'ai écrit une « lettre aux diocésains » pour rendre compte de mes découvertes, de mes questions et suggérer des points d'attention. Celle que je vous adresse en cette rentrée pastorale est plus consistante. Elle s'intitule « En chemin vers les ostensions » et veut s'inscrire dans le sillage de la belle lettre pastorale de mon prédécesseur, « Un peuple en marche », datée de la Toussaint 2014. Elle vise à donner quelques perspectives pour qu'ensemble, nous marchions vers l'achèvement du Royaume, puisque c'est pour cela qu'existe l'Église. Nous ne pouvons, en effet, avancer qu'ensemble, l'Église étant « dans le Christ, en quelque sorte le sacrement, c'est-àdire le signe et le moyen de l'union intime à Dieu et de l'unité de tout le genre humain ». Avancer ensemble, c'est un des axes majeurs du pontificat du Pape François, qui invite à une Église « synodale » c'est-à-dire soucieuse d'accueillir les dons et les charismes que l'Esprit Saint répand dans la communauté. Nos paroisses, mouvements et services, notre diocèse, ne manquent pas de lieux d'expression et de mise en œuvre de cette synodalité. Je souhaite que nous continuions de les favoriser. L'équipe d'éveil synodal initiée en septembre dernier vise à chercher des pistes concrètes pour faire vivre partout cette synodalité et rester ainsi à l'écoute du monde et des communautés de notre diocèse. C'est suite au travail de cette première année de l'équipe d'éveil synodal, croisé avec celui du conseil épiscopal, que j'écris ces lignes, à la lumière de nos échanges et de ce que je crois que le Seigneur m'inspire. Le but de cette lettre n'est ni d'indiquer des réformes de structures ni de proposer un modèle paroissial original ou d'instituer de nouveaux ministères. Certains en seront peut-être déçus. Je ne suis pas opposé aux réformes. Mais il me semble que les structures pastorales issu
Veille & Documentation

Le Mans - Comment vivre une maladie longue avec le Seigneur ? - YouTube - 0 views

  •  
    "Zoomons sur l'actualité avec Mgr Le Saux et ses invités, Sophie Gagé, Anne Pierre et Martin Bouygues. Je suis fasciné, depuis très longtemps, par le fait que Dieu sauve le monde, et qu'Il ne le fait pas par la manifestation de la puissance. Nous rêvons que Dieu agisse avec puissance et qu'on règle tous les problèmes en mettant tous les méchants dehors. Mais le point de basculement de l'histoire l'humanité, nous le croyons en tant que chrétien, c'est l'incarnation. Il n'y pas plus fragile qu'un enfant qui est la dépendance même. Le condamné à mort sur la croix est traversé par la souffrance physique mais aussi l'angoisse. C'est un acte de confiance total en son père. Dieu sauve le monde par un acte de confiance absolue. Alors qu'Il ne voit plus, qu'Il ne sent plus, Il dit pourquoi m'as-tu abandonné ? Tant de gens sont traversés par ce terrible sentiment. Dans nos propres vies, nous pouvons tous être confrontés à sentiment d'impossibilité. C'est peut-être là, j'en suis même persuadé, que Dieu nous attend. C'est peut-être là que nous sommes vraiment féconds, en contemplant le Christ. J'ai en mémoire la parabole du bon samaritain bien connue. Il y a deux interprétations qui sont justes. Le bon samaritain c'est Jésus. L'homme blessé sur le bord de la route c'est tout homme blessé dans sa chair. C'est aussi l'humanité. Dieu s'approche pour soigner, prendre sur lui cet homme. Puis il y a une autre interprétation des pères de l'Eglise : l'homme blessé sur le bord du chemin est le Christ lui-même. Jean-Paul II dit qu'il y a tant de gens qui, parce qu'ils s'approchent de ceux qui souffrent, s'approchent du Christ sans même le savoir. Nous ne pouvons aborder ces questions qu'avec délicatesse, avec un extrême silence. À Noël j'aimerais parfois qu'il y ait de l'espace pour le silence. Qu'en cette période de l'Avent et de Noël nous nous laissions approcher dans nos propres fragilité
Veille & Documentation

Les cerveaux des hommes et des femmes vieillissent différemment, Sciences & P... - 0 views

  •  
    "Si en littérature les hommes viennent de Mars et les femmes de Vénus, en science, la question est un peu moins simpliste. Il y a les idées reçues sur la différence entre les femmes et les hommes. Et puis il y a la science. Dans les colonnes du New York Magazine , le professeur en psychologie Christian Jarrett balaye d'un revers de main toutes les théories de « pseudoscience » comme : les hommes ne peuvent pas faire deux choses à la fois, ou les femmes sont plus émotives et empathiques parce qu'elles ont davantage de neurones miroirs. À l'inverse, le spécialiste met en avant les « découvertes indéniables », comme le fait que hommes et femmes n'ont pas la même vulnérabilité face aux différentes maladies neurologiques. Parkinson est plus répandue chez les hommes , qui sont d'ailleurs diagnostiqués plus précocement que les femmes. Alzheimer affecte également les femmes plus rapidement et plus durement que les hommes."
Veille & Documentation

Drees - Perte d'autonomie : à pratiques inchangées, 108 000 seniors de plus s... - 0 views

  •  
    En 2030, 21 millions de seniors de 60 ans ou plus vivront en France, soit 3 millions de plus qu'en 2019. Selon le modèle de projection Lieux de vie et autonomie (LIVIA) de la DREES, conserver les pratiques actuelles d'entrée en institution des personnes âgées en perte d'autonomie supposerait de doubler dans la durée le rythme d'ouverture de places observé depuis 2012, afin d'accueillir 108 000 résidents supplémentaires en établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) entre 2019 et 2030, puis encore 211 000 entre 2030 et 2050, qui viendraient s'ajouter aux 611 000 résidents sur les places existantes. Cependant, favoriser le maintien à domicile et limiter les places en Ehpad, comme le plébiscitent les politiques actuelles, pourrait entraîner le report d'une partie des seniors vers des formes d'habitat intermédiaire entre les logements ordinaires et les Ehpad, comme les résidences autonomie. Le nombre de personnes en résidence autonomie, qui s'élève actuellement à un peu plus de 100 000, devrait alors être multiplié par 1,5 à 2,5 en 2030 par rapport à aujourd'hui, selon les scénarios d'évolution du nombre de places en Ehpad retenus. Les Ehpad se concentreraient alors sur l'accueil des seniors les plus dépendants. Dans une hypothèse plus optimiste, où l'espérance de vie sans perte d'autonomie augmenterait d'autant d'années que l'espérance de vie globale, le maintien du rythme d'ouverture de nouvelles places en Ehpad observé depuis 2012 suffirait pour conserver les pratiques actuelles d'entrée en institution des seniors en perte d'autonomie entre 2020 et 2050.
Veille & Documentation

CNCDH - Communiqué de presse - Agir contre les maltraitances dans le système ... - 0 views

  •  
    Pour mettre fin aux atteintes au droit fondamental à l'accès aux soins, la Commission nationale consultative des droits de l'homme (CNCDH) appelle les pouvoirs publics à remettre l'humain au cœur du système de santé français. Si le système de soins français est envié dans le monde entier pour sa performance, si la compétence et le dévouement du personnel soignant sont largement reconnus, de nombreux actes de maltraitance, abondamment relayés dans les médias ces derniers mois, révèlent les dysfonctionnements d'un système qui engendre la souffrance des patients, des soignants et des aidants. Pour mettre fin aux atteintes au droit fondamental à l'accès aux soins, la Commission nationale consultative des droits de l'homme (CNCDH) appelle les pouvoirs publics à remettre l'humain au cœur du système de santé français. Loin de constituer une attaque contre le personnel soignant10, le terme « maltraitance » renvoie donc ici aux dérives actuelles du système de santé français. Comme l'indique le rapport Compagnon de 2009 « la maltraitance est avant tout le fait d'un système et non pas d'un individu »11. Il ne s'agit donc pas d'opposer les patients aux médecins et autres personnels de santé, mais plutôt de mettre en évidence les souffrances subies par l'ensemble des acteurs du système médical, qu'ils soient soignants, patients ou aidants. Il s'agit d'interroger les mécanismes d'un système de santé qui engendre des souffrances. La CNCDH propose, dans cet avis, de dépasser la logique strictement économique pour privilégier un système de santé fondé sur l'humain qui puisse garantir les droits fondamentaux en s'adaptant aux spécificités de chacun. Il s'agira dans un premier temps de constater en quoi le système de santé actuel peut générer de la maltraitance et faire obstacle au droit fondamental à l'accès aux soins ; puis, dans un second temps, de suggérer des pistes de réflexion
Veille & Documentation

CNCDH - Avis - Agir contre les maltraitances dans le système de santé : Une n... - 0 views

  •  
    Pour mettre fin aux atteintes au droit fondamental à l'accès aux soins, la Commission nationale consultative des droits de l'homme (CNCDH) appelle les pouvoirs publics à remettre l'humain au cœur du système de santé français. Si le système de soins français est envié dans le monde entier pour sa performance, si la compétence et le dévouement du personnel soignant sont largement reconnus, de nombreux actes de maltraitance, abondamment relayés dans les médias ces derniers mois, révèlent les dysfonctionnements d'un système qui engendre la souffrance des patients, des soignants et des aidants. Pour mettre fin aux atteintes au droit fondamental à l'accès aux soins, la Commission nationale consultative des droits de l'homme (CNCDH) appelle les pouvoirs publics à remettre l'humain au cœur du système de santé français. Loin de constituer une attaque contre le personnel soignant10, le terme « maltraitance » renvoie donc ici aux dérives actuelles du système de santé français. Comme l'indique le rapport Compagnon de 2009 « la maltraitance est avant tout le fait d'un système et non pas d'un individu »11. Il ne s'agit donc pas d'opposer les patients aux médecins et autres personnels de santé, mais plutôt de mettre en évidence les souffrances subies par l'ensemble des acteurs du système médical, qu'ils soient soignants, patients ou aidants. Il s'agit d'interroger les mécanismes d'un système de santé qui engendre des souffrances. La CNCDH propose, dans cet avis, de dépasser la logique strictement économique pour privilégier un système de santé fondé sur l'humain qui puisse garantir les droits fondamentaux en s'adaptant aux spécificités de chacun. Il s'agira dans un premier temps de constater en quoi le système de santé actuel peut générer de la maltraitance et faire obstacle au droit fondamental à l'accès aux soins ; puis, dans un second temps, de suggérer des pistes de réflexion
Veille & Documentation

Rennes - S'adapter en période de COVID-19 - Un accompagnement au CHU de Rennes - 0 views

  •  
    "Rendre la rencontre possible… : C'est par une amie de la famille de Mr L, puis du curé de leur paroisse, que j'ai su son hospitalisation suite à un AVC, à l'âge de 87 ans (le 2ème, un premier datait de deux ans, dont il n'était pas encore remis). Je m'informe à Pontchaillou du service où il se trouve. Nous sommes en situation de COVID-19 et bien qu'il ne soit pas infecté par ce virus, les visites des familles sont interdites dans tous les services.           J'obtiens de l'amie le téléphone de l'épouse du patient avec qui je m'entretiens longuement. Elle est atteinte de cécité et l'absence de son mari malade la met elle aussi en grande difficulté, déstabilisée par son impuissance quant à accompagner son mari, et par rapport à sa propre situation. Sa fille vient auprès d'elle chaque jour. Croyants, pratiquants, investis sur leur paroisse (faisant partie de la chorale), après l'avoir écoutée, je lui demande ce qu'elle attend de nous : que nous allions lui faire la visite qu'elle ne peut pas faire et lui porter la Communion qu'il souhaitera probablement, et puis nous parlons du Sacrement des malades. Je lui propose, s'il m'est permis de prendre mon téléphone dans la chambre de son mari (ce qui n'est pas permis lors des visites aux patients infectés par le COVID), de mettre le haut-parleur afin qu'ils soient plus présents l'un à l'autre lors de ma visite et de l'Onction des malades s'il désire ce Sacrement. Elle s'en réjouit, nous portons cela dans la prière. Comme il est tard, la cadre de santé n'est plus dans le service pour donner l'accord nécessaire à ma venue, l'infirmier me dit qu'il me rappellera le lendemain matin. Le lendemain je suis rappelée, très tôt, par l'interne pour me demander de venir. Je lui parle d'une probable 2nde visite avec le prêtre, il me donne son accord. J'attends qu'il soit un peu moins tôt dans la matinée pour informer Mm
Veille & Documentation

L'Eveil de la Haute Loire - Une baisse des recettes de l'ordre de 300.000 eur... - 0 views

  •  
    "Pas de célébration pendant plusieurs mois, puis en comité restreint… L'activité du Diocèse du Puy-en-Velay a, elle aussi, été fortement impactée par la crise sanitaire. L'évêché fait les comptes et accuse une baisse des recettes pour 2020 de l'ordre de 300.000 euros." [RDP du 05 janvier 2021]
Veille & Documentation

Affaire Lambert : le rapporteur public du tribunal administratif de Châlons-e... - 0 views

  •  
    "Ce mardi 29 septembre 2015, le rapporteur public du tribunal administratif de Châlons-en-Champagne a estimé que les médecins du CHU de Reims étaient en droit, en vertu de leur indépendance professionnelle, de ne pas mettre fin à la vie de Vincent Lambert. Pour le rapporteur, le médecin a agi "en fonction de sa responsabilité professionnelle et morale". Le rapporteur public a donc recommandé aux juges de rejeter la requête de François Lambert, le neveu de Vincent Lambert, qui réclame l'application par le CHU de Reims de la décision prise le 11 janvier 2014 par le docteur Eric Kariger de suspendre l'alimentation et l'hydratation du jeune homme en état pauci-relationnel depuis un grave accident de voiture. Suite à l'arrêt rendu par la Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH), le médecin désormais en charge de Vincent avait engagé une nouvelle procédure en vue d'une éventuelle décision d'arrêt des soins, puis le 23 juillet dernier avait finalement refusé de statuer, évoquant des pressions extérieures. La décision du tribunal administratif sera rendue le 9 octobre."
Veille & Documentation

DREES - Infographie Focus sur les proches aidants - L'aide et l'action social... - 0 views

  •  
    L'aide et l'action sociales en France représentent 10 % des dépenses de protection sociale et relèvent, pour moitié, de la responsabilité des départements. Fin 2017, ces derniers octroient 4,2 millions de prestations d'aide sociale, couvrant ainsi 6,2 % de la population française. Ces prestations représentent une dépense annuelle nette de 37,8 milliards d'euros, un montant qui a progressé de 0,8 % en un an et de 12 % en cinq ans. En 2018, le nombre d'aides sociales aux personnes âgées ou handicapées croît de 1,4 % et le nombre d'allocataires du revenu de solidarité active (RSA) de 0,7 %. L'aide sociale départementale est, dans cet ouvrage, étudiée dans son ensemble puis, plus en détail, pour les personnes âgées, les personnes handicapées, l'aide sociale à l'enfance et l'insertion. Les analyses portent sur les effectifs et les caractéristiques des bénéficiaires, les dépenses et les personnels associés, sous l'angle des évolutions, récentes ou de plus long terme, et des disparités territoriales. L'ouvrage présente également le contenu et l'organisation de l'action sociale des communes et des intercommunalités. Cette nouvelle édition s'enrichit notamment de résultats sur la prévalence de la perte d'autonomie, l'allocation personnalisée d'autonomie (APA) et l'aide sociale à l'hébergement (ASH) des personnes âgées.
Veille & Documentation

Nantes - Journée spéciale de la Pastorale Santé - 0 views

  •  
    "Tous les ans à la même époque a lieu la journée diocésaine de la Pastorale de la Santé. Cette rencontre regroupe entre 500 et 600 bénévoles. C'est donc avec une certaine frustration que nous avons dû annuler cette journée tant attendue par tous. Cependant, l'inspiration d'une aumônière nous a encouragés à demander à Radio Fidélité, la possibilité de nous accorder un temps d'antenne en direct sur les ondes. Cela nous a permis de rejoindre les bénévoles de la santé mais aussi tous les auditeurs habituels de la Radio. Au programme?: quelques témoignages de bénévoles sur ce temps de confinement que nous venons de vivre, puis nous avons écouté la messe célébrée en direct de l'église Saint Gohard en la paroisse de Saint-François-en-Saint-Nazaire, présidé par le père Arnaud Lagagnier. En seconde partie nous avons médité un texte écrit par le père Paul Houdayer, prêtre accompagnateur de notre l'équipe diocésaine. Vous trouverez ces témoignages et bien d'autres encore, et ce texte méditatif sur notre site internet. L'après-midi, nous avions donné rendez-vous aux responsables d'équipe pour une visioconférence. Ce fut l'occasion de recueillir durant presque deux heures les belles initiatives qui se sont mises en place pour accompagner autrement les personnes malades, âgées, porteuses d'un handicap. Nous avons également accueilli les réflexions et les interrogations des uns et des autres quant à l'avenir de nos missions dans les prochaines semaines."
Veille & Documentation

Rennes - Témoignage du Grand Fougeray pendant le confinement - 0 views

  •  
    "Les résidents sont confinés dans leur chambre, ce qui donne un peu plus de travail au personnel qui est admirable, solidaire , motivé. C'est pourquoi dès le 25 Mars je m'étais mise à la disposition de l'hôpital pour aider bénévolement les soignants. J'ai « pris mon service » le lundi 30 Mars. J'arrive à 11 h et me dirige où on a besoin de moi. Midi et soir je donne à manger à deux résidents très handicapés, puis je déjeune moi-même. L'après-midi , je visite en chambre. Lorsque le temps le permet, promenade dans le parc pour plusieurs résidents, un par un. J'ai quelques cantiques enregistrés sur mon smartphone. J'ai imprimé en grand les paroles, et nous chantons dans le parc. Les animatrices ont mis en place SKYPE, qui « fonctionne à plein régime »!"
Veille & Documentation

Le Puy - L'aumônerie d'hôpital reste à l'écoute - 0 views

  •  
    "L'équipe d'aumônerie de l'hôpital Emile Roux, au Puy-en-Velay, est à l'écoute des malades et de leur entourage. Avec les restrictions liées au contexte sanitaire, il n'est plus possible d'assurer les visites auprès des personnes hospitalisées ni d'être physiquement présent pour écouter leurs familles et le personnel. Afin de rester en lien, les membres de l'équipe sont disponibles par téléphone pour répondre aux appels des familles et des malades qui souhaitent les contacter."
Veille & Documentation

Homélie de Mgr Christophe DUFOUR - Jubilé des 150 ans de la congrégation des ... - 0 views

  •  
    "En cette fête des 150 ans de la congrégation des Filles de Notre Dame des Douleurs, nous sommes invités à contempler le Christ qui s'agenouille aux pieds de ses apôtres pour leur laver les pieds. C'était au cours d'un repas, le dernier que Jésus prenait avec ses apôtres. Que fait Jésus ? Il se lève de table, il dépose son vêtement, il prend un linge qu'il se noue à la ceinture ; puis il verse de l'eau dans un bassin. Alors il se met à laver les pieds de ses disciples et à les essuyer avec le linge qu'il avait à la ceinture. Mais il est fou ! « Ah non ! » dit Simon-Pierre. « Tu n'es pas à ta place, tu es notre maître, pas notre serviteur, encore moins notre esclave ». Il faut savoir que le geste de laver les pieds avant le repas était le travail de l'esclave, presque toujours un étranger."
Veille & Documentation

Prendre soin des personnes âgées, les respecter, les aimer - 0 views

  •  
    "L'Eglise est la famille de toutes les générations. Doit y régner la gratuité et l'amour et non le profit et l'avoir. « Chacun doit y être chez soi », y compris les personnes âgées. Ce jeudi a été célébrée dans la Basilique Saint Pierre la messe d'ouverture de la 28ème Conférence internationale sur « l'Eglise au service des personnes âgées malades : le soin des personnes atteintes de maladie neuro dégénérative ». Dans son homélie, le président du Conseil pontifical pour la pastorale de la santé, Mgr Zygmunt Zimowski, cite Benoît XVI : « Protégez les anciens car ils méritent respect et admiration pour le bien qu'ils vous ont donné » , puis François « un peuple qui ne prend pas soin des grands-parents, qui ne les respecte pas, n'a pas d'avenir, parce qu'il a perdu la mémoire »."
Veille & Documentation

DREES - Edition intégrale - L'aide et l'action sociales en France - Perte d'a... - 0 views

  •  
    L'aide et l'action sociales en France représentent 10 % des dépenses de protection sociale et relèvent, pour moitié, de la responsabilité des départements. Fin 2017, ces derniers octroient 4,2 millions de prestations d'aide sociale, couvrant ainsi 6,2 % de la population française. Ces prestations représentent une dépense annuelle nette de 37,8 milliards d'euros, un montant qui a progressé de 0,8 % en un an et de 12 % en cinq ans. En 2018, le nombre d'aides sociales aux personnes âgées ou handicapées croît de 1,4 % et le nombre d'allocataires du revenu de solidarité active (RSA) de 0,7 %. L'aide sociale départementale est, dans cet ouvrage, étudiée dans son ensemble puis, plus en détail, pour les personnes âgées, les personnes handicapées, l'aide sociale à l'enfance et l'insertion. Les analyses portent sur les effectifs et les caractéristiques des bénéficiaires, les dépenses et les personnels associés, sous l'angle des évolutions, récentes ou de plus long terme, et des disparités territoriales. L'ouvrage présente également le contenu et l'organisation de l'action sociale des communes et des intercommunalités. Cette nouvelle édition s'enrichit notamment de résultats sur la prévalence de la perte d'autonomie, l'allocation personnalisée d'autonomie (APA) et l'aide sociale à l'hébergement (ASH) des personnes âgées.
1 - 20 of 62 Next › Last »
Showing 20 items per page